20 octobre 2020
Traînes
Et voilà. Je t'enveux encore. Tu traînes, tu traînes... Tu n'auras pas vu ton fils de la journée. Tu pouvais rentrer plus tôt, mais tu traînes. Tu fais déjà de grosses journées, tu rentres tard, et là, tu traînes. Je comprends ce lien mère-fils qui se crée. C'est sûr, en ce moment, je ne travaille pas, je m'en occupe beaucoup, c'est normal. Et toi tu traînes. Que veux-tu. Moi, je suis bien avec mon fils. En ce moment je vais bien. Pas besoin de toi. Traînes. Quand j'irai mal, que j'aurai tiré sur la corde, et ça arrivera bientôt, on fera au mieux.
Traînes.
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