La bernique
Hier j'ai reçu une remarque très désobligeante sur une partie de mon corps de la part d'une co**asse (pour ceux qui n'auraient pas trouvé l'insulte, il manque juste les n) qui faisait partie de ces co**asses (pareil pour les n) du collège (aaah traumatismes du collège...). Sur le coup j'ai rien dis, genre la fille détachée qui s'en tape et qui est bien au dessus de ça 😤.
Le soir, dans le lit, je raconte à mon fils de 2 mois ma mésaventure en lui expliquant pourquoi maman est vexée et contrariée. Il faut dire qu'il a pris l'affaire très au sérieux et m'a bien regardé tout au long de mon histoire.
Après, j'ai quand même voulu en parler à un adulte (qui comprend pour de vrai ce que je dis), soit, comme d'habitude, ma sœur. Texto-roman envoyé en lui expliquant que de toutes façons elle, elle ressemble à rien avec ses boucles d'oreilles en toc, ça teinture blonde ratée et que moi d'abord après 2 mois de grossesse bah mon ventre il déborde (presque) pas de mon pantalon alors que elle si et blablabla (en mode collège quoi).
Ma sœur (c'est incroyable comme elle me connaît) me répond : "Bah moi je te dis que ça sert à rien de se vexer pour une connasse malpolie.. par-contre que tu sois vénère après toi-même car tu as autant de répartie qu'une bernique sous opiacés, ça je comprends 😘"
Je t'aime ma sœur 😂🥰